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Le comique qui fait scandale.
Dans ses sketches, il utilise les clichés racistes et sexistes, sans prendre de gants. Comment Max Boublil, 32 ans, est-il devenu en quelques mois la nouvelle coqueluche des adolescents avec des titres comme « Ce soir tu vas prendre » ou « J’aime les moches », que nombre de parents trouvent vulgaires ? Son fait d’armes est une polémique très virulente qui l’a opposé cet hiver, sur Internet, au rappeur Alibi Montana. Ce dernier le taxait de racisme, Max Boublil ripostait en le traitant comme un demeuré. Cette petite guerre, qui était partie pour très mal se finir, a connu un épilogue inattendu…
La guerre des post-it.
Elles ont fleuri cet été sur les vitres des immeubles de bureaux : de gigantesques fresques composées à partir de post-it ! Ces petits rectangles de papier adhésif aux couleurs vives sont désormais utilisés comme des pixels pour faire des tableaux, représentant des personnages de jeux vidéo. Ce phénomène étonnant qui se répand comme une traînée de poudre à travers le monde est né en France, en région parisienne. Dans beaucoup d’entreprises, c’est devenu une véritable passion, qui rassemble des dizaines de collègues de bureau près des fenêtres au moment de la pause déjeuner. Problème : les employeurs n’apprécient pas toujours ces œuvres éphémères composées sur le lieu de travail.
Fatal adultère.
Au départ, une histoire tristement banale : un mari qui promet à sa maîtresse de divorcer de son épouse, mais qui n’y arrive pas. Mais cette fois-ci, la liaison extra conjugale se termine tragiquement, par la mort des deux amants. Anne Caudal, une fleuriste de Rennes, était tombée amoureuse de Christophe Piedoux, marié et père de deux enfants. Il lui promettait de quitter sa femme pour vivre avec elle. Mais en réalité, il n’avait rien entrepris en ce sens. Christophe Piedoux mentait donc à sa femme et à sa maîtresse, jusqu’au jour où le corps de cette dernière est retrouvé calciné dans la campagne…
Syrie : silence, on tue !
Jusqu’où peut aller un tyran pour écraser son propre peuple ? Alors que la Syrie était de nouveau cette semaine sous le feu des critiques internationales, le président El-Assad poursuit sa répression sanglante : envoi de chars contre une population désarmée, adolescents torturés, manifestants blessés qu’on achève dans les hôpitaux. Depuis le début du soulèvement il y a six mois, au moins 2 200 personnes ont déjà été tuées et les journalistes étrangers ne sont pas les bienvenus. Mais certains opposants, au péril de leur vie, réussissent à faire sortir des images interdites. Témoignage et images inédites sur un massacre à huis clos.
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