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Brigitte, les mères de famille rock-stars
Elles détonnent avec leur look glamour et les paroles très crues de leurs chansons. Les « Brigitte », un duo de parisiennes qui se place sous le double patronage de Brigitte Bardot et Brigitte Lahaie, se sont faites connaître au printemps en osant reprendre le très macho « Ma Benz » du groupe de rap NTM. Depuis leur album « Et vous tu m’aimes » s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires. Leurs robes des années 70 et la manière très libre dont elles parlent des hommes ont touché un large public de jeunes femmes. Ces deux mères de famille trentenaires qui connaissent le succès sur le tard se sont inspirées de leur propre expérience. Reportage avec ces gravures de mode qui jonglent entre leurs enfants et leur nouvelle vie de vedettes.
Anglaises abandonnées en France
January est anglaise et son mari l’a abandonnée. Elle se retrouve seule dans un pays, la France, dont elle ne maîtrise pas la langue. Et surtout, un emprunt immobilier à rembourser, une maison à retaper et des enfants à éduquer… Comme elles, 1 000 femmes britanniques vivent cette mésaventure. Elles ont traversé la Manche pour s’installer en couple dans la campagne française. Mais le mari est parti, et les voilà coincées, croulant sous les dettes. Pour elles, le rêve français tourne alors au cauchemar.
Flic ou voyou ?
Ses collègues admiraient le superflic, redoutablement efficace dans les grandes affaires criminelles. Les médias appréciaient le « bon client », élégant, télégénique et volubile. Mais le 29 septembre, pour le commissaire divisionnaire Michel Neyret, c’est la chute libre : il est jeté en prison comme l’un des innombrables voyous qu’il avait serrés. Le numéro 2 de la Police judiciaire se retrouve mis en examen pour, entre autres, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs, entraînant dans sa chute le chef de l’antigang de Lyon et le chef de la PJ de Grenoble. En fréquentant un peu trop ses indics, Neyret a-t-il été imprudent ? Ou le flic s’est-il laissé tenter par le train de vie des malfrats ?
La revanche de « la diabolique »
Une débauchée démoniaque, un monstre assoiffé de sang et de sexe : voilà comment la presse italienne décrivait Amanda Knox. Cette capiteuse étudiante américaine de 24 ans était forcément coupable du meurtre, à Pérouse, de sa colocataire, tuée de 43 coups de couteau après avoir été violée. Et pourtant, après quatre ans de prison, celle que les Italiens avaient surnommée « la diabolique » vient d’être acquittée en appel. Entretemps, les Américains, convaincus de son innocence, se sont mobilisés pour faire libérer leur compatriote. Sur quels éléments les juges italiens ont-ils finalement innocenté la jeune femme ? Quelle nouvelle vie attend celle qui est déjà devenue une star aux Etats-Unis ?
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